histoire du village taindlest

Photo Village Taindlest


La région attend toujours de bénéficier des avantages du vingtième siècle, étant toujours tributaire de la prestation de service des communes périphériques.

Selon un prospectus présentant la commune de Ait Khellili,  cette région montagneuse, réputée pour sa poterie kabyle, est situé, au sud-est de Tizi Ouzou, limitée à l’est et au nord-est par la commune de Souama, au sud par celle de Aït Yahia  et au nord-ouest par celle de Mekla. Son chef-lieu communal est situé à Agoulmime, à 12  kilomètres du chef-lieu de daïra (Mekla) mais à 33 kilomètres de Tizi Ouzou.

Son climat de type méditerranéen est caractérisé par un hiver froid et humide et un été chaud et sec. L’altitude de la région variant de 700 à 975 m, le chef-lieu communal est à 900m. Deux routes traversent la commune en diagonale, l’une (CW 150) reliant Mekla à Ain El Hammam l’autre (CW 250) se croisant à la première, à l’entrée du territoire communal et bifurquant sur la gauche pour traverser le côté bas pour s’en aller rejoindre la région de Souama. Le transport des voyageurs est assuré en permanence par une multitude de fourgons, ainsi que certains bus locaux.

La région attend toujours de bénéficier des avantages du vingtième siècle, étant toujours tributaire de la prestation de service des communes périphériques. Ainsi, côté santé, il n’existe qu’une seule salle de soins et côté postes, une agence située  au chef-lieu communal ainsi que deux bureaux, l’un à Akerrou,  l’autre à El Kalaâ. Pour les villages de Megheira et Ait Dih, situés en contrebas, il faudra bien se déplacer pour les besoins de communication. Ceci pour la géographie des lieux.

Ainsi, l’école primaire de Megheira est loin de … Megheira (sur le CW150) tandis que celle de Ait Dih est réalisée en contrebas de Megheira, loin de Ait Dih ! Allez comprendre le sens de cette géographie aléatoire ! Pour les soins de santé, les résidants de Megheira et Ait Dih devront bien se débrouiller, le centre de soins situé Megheira attendant toujours d’être opérationnel.

Ce qui semble le plus curieux, c’est de constater que les villages de Ait Kheir, le village aux mille potiers, l’unité artisanale de El Khemis, Hicham, Sahel, Akerrou et Agoulmime sont cités, tandis  que Tizi Baman, Vouachir, Hadjadj et Tandlest sont oubliés !

Mais, l’histoire n’a pas ignoré ces villages-là ! Les autorités coloniales ne les ont pas oubliés durant la période de la "Paix des Braves" à laquelle la population a répondu négativement.

A Tandlest, il y eut un carnage parmi la population qui avait osé dire "non à l’Algérie française".  Une stèle commémorative a été érigée sur les lieux. La neige peut toujours recouvrir les toits des maisons de Tandlest d’une couche blanche reflétant la lumière solaire, ce site demeurera toujours, si les autorités continuent d’ignorer jusqu’à son existence, l’éternel oublié de ce vingtième siècle.

Il est vrai que la situation géographique du village de Tandlest le met un peu… à côté de la plaque, puisque ses habitations s’éparpillent de l’autre côté de la route, en contrebas, continuant de faire face à l’est, aux montagnes de l’Akfadou qui lui offrent sa fraîcheur, par delà la vallée du Sébaou qui brille par sa sérénité légendaire, ayant oublié que la zone était jadis le site d’une foire à longueur d’année, puis ayant servi de campement et de lieu de torture pour les besoins du colonisateur.

Mais, quel lieu ? Le siège de la mairie appartenait au village de Tandlest qui l’avait " donné " sans compensation ! De même que le site d’implantation du collège et même la polyclinique dont les travaux sont à l’abandon ! Est-ce pour cette raison que le village de Tandlest n’existe même pas sur la carte géographique du plan communal ? Aurait-il été intégré d’office au chef-lieu communal par le fait même que tout est situé sur "son territoire" ?

Quant aux panneaux de signalisation routière, il faudrait comprendre que les responsables, qui auraient dressé la liste pour la commande, auraient oublié d’inclure le nom du village : ainsi, nul panneau de signalisation routière n’existe pour orienter les usagers de la route.

Si le monde s’est permis d’évoluer, la situation risque de stagner encore pour Tandlest, fière de son passé historique,  qui se refuse à n’occuper que les strapontins que lui réservent ceux qui ont oublié leur devoir d’élus … une fois élus ! Les citoyens de Tandlest sauraient ne pas demeurer les bras croisés, se refusant à subir cette fatalité, s’associant autour d’un comité de village actif et bien décidé.

Il n’y a pas si longtemps, sur ces mêmes pages, l’on faisait l’éloge d’une jeune fille de Tandlest, Nadia Nechab  qui, elle, a eu l’honneur de gravir les marches du " Palais du Luxembourg " pour recevoir, des mains du président du Sénat, la médaille de la meilleure apprentie en coiffure ! La commune d’Ivry aura ravi la " une " à la commune de Ait Khellili !


 





La fierté d’être berbère



Les racines dont je suis née sont remplit de noblesse,
Avec honneur et fierté je cultiverai leurs richesses,
Un homme libre dès ce jour j’en fais la promesse.
 
 Décrire et décrire encore pour exorciser ma souffrance,
Est celle d’un peuple qui de jour en jour s’enfonce,
A cause d’une idéologie qui à détruit son enfance.
 
 
Pour donner du sens à ce récit je vous dicte une histoire,
Celle d’un fou qui va dans un cimetière crier son espoir,
En pensant dire la vérité, celle que la Morale doit savoir.
 Pour que dans la conscience surgit une atmosphère bien sincère,
Deux, née de même mère ce reconnaîtront comme frères,
Que le nom de leur ancêtre ne serra pas demain vulgaire.
 Mais hélas, la haine cultive le mal dans le jardin de son voisin,
Ceci surtout s’il est sincère, faible, ignorant, et qui ne dit rien,
Faisant de lui son valet et le nommant le sarrasin.
 Alors à tout ceux dont l’honneur et la dignité est le fruit de la conscience,
La vérité est un germe rempli de noblesse, la seule valeur de la semence,
Qui prend naissance des racines desquelles elles puisent toutes leurs force.
 
 Car les racines d’un peuple sont la richesse de l’avenir,
Sans elles ne serait-il pas un esclave condamner à souffrir…
 
 Ait lounes   La prophétie 2018 le venin viendra du ciel  Dieu ! Que la raison l’emporte  
 
Dieu ! Que la raison l’emporte de l’âme abstraite par ses larmes il ausculte l’horizon,  
Le paradis en flamme, l’esprit l’enfer le proclame, la peur règne dans les maisons,
La mère ne sait que faire d’Abel et son frère qui ce blâme cela sans aucune raison.
 
Que dire de la foi qui est en dérive, la croyance est zen, elle prêche le mal et elle le cultive,      
Que dire de la haine qui a trouvé place dans le coeur de l’homme elle est heureuse de vivre,
Que dire de la vérité qui à peur de mourir, la sagesse pleure se cache, se cache pour survivre. 
 
Que dire de l’homme qui comme un vautour tourne autour et attend son tour, 
Que dire de l’homme, de ce microbe auteur, cet axe opté comme un promoteur,
Que dire de l’homme de son venin créateur de cette frasque conçu par sa signature.
 
Ait Lounes Mokrane 
 
   Poème   le 21 / 12 / 2008
 
Aït Lounes- Mokrane Taverny (France, val d’Oise)  
 
Quoi de neuf docteur dans le pays ?
 
 
Rien mon cher ami pas de changement, l'argent vit toujours à sa guise,
Le pouvoir, ha le pouvoir kif-kif, il va bien, plein à craquer de devise.   
 
Le pauvre citoyen très malade, de plus en plus dans la misère s'enlise,
Tout est cher en faisant le marché on y laisse même sa chemise.
 
Le seul rêve de la jeunesse est de fuir sans même prendre sa valise,
A contre coeur de quitter ce paradis a la recherche de la terre promise 
 
Le peuple ce qu'il pense ? Ha le peuple ! Parfois il pleure et parfois il danse...
S'il en manque vingt ou mille on ne remarque pas leur absence.
 
Ha si pardonnez-moi, excusez-moi, il y a une bonne nouvelle officielle,  
On va construire une grande maison avec des fusés dressées vers le ciel.   
 
A part ça, ça va il y a des hauts et il y a des bas, même si on ne sait pas ou on va.
 
Quoi de neuf docteur ? Rien, je suis malade.
 
Aït Lounes Mokrane.      
 
      
 Azul felawen, Salam aleykoum, Bonjour à tous
Actuellement l'intégration est de la actualité Française, voici une réflexion,
 
  Aït Lounes- Mokrane Taverny (France, val d’Oise) le 07 / 01 / 2010  
 
Beurre je suis mais je ne viens pas de Normandie      
 
J’aime la France, j’aime la France, même si avec elle je ne suis pas toujours d’accord,
Pour exprimer ma souffrance je brûle les voitures dans mon quartier encore et encore.
 
J’aime la France, j’aime la France, même si je ne suis pour elle qu’un objet de contrefaçon,
Les mots vulgaires pour moi sont comme des toasts, un moyen d’exprimer le ralbol à ma façon. 
 
J’aime la France, j’aime la France, même si elle me considère comme l’un des quarante d’Ali Baba 
Je serais toujours le cavalier de l’eau de rose avec fierté je porterais mon burnous et ma chéchia. 
 
J’aime la France, j’aime la France, même si je ne suis pour elle que sujet d’intégration,
Je ne serais jamais un instrument sur le chemin néo-colonialiste assoiffé de promotion.  
 
J’aime la France, j’aime la France, non pas celle que je vois comme une grande puissance,
Mais celle que je voyais, grandeur, remplie de valeurs qui fut le rêve de mon enfance.  
 
J’aime la France, j’aime la France, avec un rêve comme une énigme d’une flamme intense,
A la place de l’étoile une grande mosquée avec un minaret qui dominera toute la France.
  
Réflexion utopique et cynique, mais l’homme est comme un compte à rebours,
S’il y a un début il y a aussi toujours une fin à sa folie des grandeurs. 
 
Ait Lounes Mokrane
 
www.radionumydia.com
 
PLATE FORME D'EL KSEUR
 
Nous, représentants des wilaya deTizi-Ouzou, Bgayet, Bouira, Boumerdes, Sétif, Bordj Bouareridj, Alger et le Comité collectif des Universités d’Alger, réunis ce jour 11 juin 2001 à la maison de jeunes Mouloud FERAOUN d'El Kseur (Bgayet), avons adopté la plate forme commune suivante:

1. Pour la prise en charge urgente par l'État de toutes les victimes blessées et familles des martyrs de la répression durant les événements.

2. Pour le jugement par les tribunaux civils de tous les auteurs, ordonnateurs et commanditaires des crimes et leur radiation des corps de sécurité et des fonctions publiques.


3. Pour un statut de martyr à chaque victime de la dignité durant ces événements et la protection de tous les témoins du drame.

4. Pour le départ immédiat des brigades de gendarmerie et des renforts des CRS.
5.Pour l'annulation des poursuites judiciaires contre tous les manifestants ainsi que l'acquittement de ceux déjà jugés durant ces événements.

6. Arrêt immédiat des expéditions punitives, des intimidations et des provocations contre la population.

7.Dissolution des commissions d'enquêtes initiées par le pouvoir.

8.Satisfaction de la revendication Amazigh dans toutes ses dimensions (Identitaire, civilisationnelle, linguistique et culturelle) sans référendum et sans conditions et la consécration de Tamazight en tant que Langue Nationale et Officielle.

9. Pour un État garantissant tous les droits socio-économiques et toutes les libertés démocratiques.

10. Contre les politiques de sous développement, de paupérisation et de clochardisation du peuple algérien.

11.La mise sous l'autorité effective des instances démocratiquement élues de toutes les fonctions exécutives de l'Etat ainsi que les corps de sécurité.

12.Pour un plan d'urgence socio-économique pour toute la région de Kabylie.

13.Contre TAMHEQRANIT( HOGRA) et toute forme d'injustice et d'exclusion.

14.Pour un réaménagement au cas par cas des examens régionaux pour élèves n’ayant pas pu les passer.

15.Institution d'une allocation chômage pour tout demandeur d'emploi à hauteur 50%SNMG.

NOUS EXIGEONS UNE REPONSE OFFICIELLE, URGENTE ET PUBLIQUE A CETTE PLATE FORME DE REVENDICATIONS



ULAC SMAH ULAC

LE COMBAT CONTINUE
 
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